Jean Giono

Jean le Bleu autobiographie de Jean Giono retraçant sa jeunesse jusqu'à son départ pour la guerre de 1914. je viens de l'acheter, j'avais déjà lu "Que ma joie demeure" hymne à la nature et histoire pleine de sens.

Un lien si vous souhaitez en savoir plus sur Jean Giono

http://pages.infinit.net/poibru/giono/gionobio.htm

Tiens une tite lavande

Présente toi dans L'heure du thé, sinon ils vont tous te tomber dessus :p
Puis ils te diront de mettre une petite image du livre..etc

Bon séjour à toi

Bonjour Loutre!

C'est vrai que c'est l'heure du thé, mais j'ai pas envie de me présenter tout de suite. Tu comprends faut que je sois en pleine possesions de mes moyens pour le faire . En attendant je salue tout le monde.

J'attends que ça qu'ils me tombent dessus! ...............les livres!

Pour vous mettre Loutre à la bouche, heu pardon......l'eau à la bouche, je vais vous citer la première phrase et la dernière phrase de l'histoire!

1ère phrase : "les hommes de mon âge, ici, se souviennent du temps où la route qui va à Sainte-Tulle était bordée d'une épaisse rangée de peupliers"

Dernière phrase : "Il me fut facile de partir à la guerre sans grand émoi, tout simplement parce que j'étais jeune et que, sur tous les jeunes hommes, on faisait souffler un vent qui sentait la voile de mer et le pirate."

J'vous en prie, je ne me met pas à la bouche de la première venue, faisont connaissance un peu

Ca y est, je l'ai commencé, j'ai hésité parmi d'autres romans et finalement je ne regrette pas, chacune de ses lignes est une vraie poésie.

zut je suis toujours au deuxième chapître, j'avance pas.

Vraiment merci. Ca l'air d'un chef-d'oeuvre. Enfin vu la première phrase et la dernière, ça doit être un livre très passionnant.
*quand j'aurai du temps je vais le lire

Un petit extrait :

"Le jardin de notre école était pareil à un gros fruit plein de chair et de jus. Les murs qui le pressaient le faisaient jaillir et bouillonner ; il en coulait des lilas de partout ; les grands buis éclaboussaient d'ombres et d'odeurs les murs de notre petite classe et le lierre écumant d'abeilles bavait comme de la mousse de confiture du haut mur de la terrasse. "